Film d'animation (bientôt disponible en DVD):
Trois personnes se retrouvent mystérieusement conduites par leur ange gardien pour assister à une cérémonie dans une grande église. Pour la première fois, il leur est donné de voir ce qui d’ordinaire se cache derrière les apparences d’une liturgie qui leur est pourtant familière...
Après avoir vu ce film, vous vivrez la Messe autrement....
mardi 28 mars 2017
Le curé d'Ars
Jean-Marie Baptiste VIANNEY, dit le Curé d'Ars, né en 1786 à Dardilly (près de Lyon) et mort en 1859 à Ars-sur-Formans (Ain), fut le curé de la paroisse d'Ars pendant 41 ans.
Très rapidement, sa réputation de confesseur lui attire de nombreux pèlerins venant chercher auprès de lui le pardon de Dieu et la paix du cœur.
Assailli par bien des épreuves et des combats, il garde son cœur enraciné dans l’amour de Dieu et de ses frères ; son unique souci est le salut des âmes. Ses catéchismes et ses homélies parlent surtout de la bonté et de la miséricorde de Dieu.
Béatifié le 8 janvier 1905, il est déclaré la même année, “patron des prêtres de France”. Canonisé en 1925 par Pie XI, il sera proclamé en 1929 “patron de tous les Curés de l’univers”.
Quelques citations du Saint curé d'Ars :
Il est plus facile de se sauver que de se perdre, tant est grande la miséricorde de Dieu
.
Sans la divine eucharistie, il n'y aurait pas de bonheur en ce monde, la vie ne serait pas supportable.
Dieu nous aurait donné un bien encore plus grand, s'il avait eu un bien plus grand que le don de lui-même.
Ne pas communier : c'est comme mourir de soif près d'une source.
Dieu sait tout. Surtout il sait qu'après vous être confessés vous allez recommencer à pêcher. Néanmoins, il pardonne. Il va jusqu'à oublier exprès l'avenir, pour nous pardonner.
Certains disent : "J'ai fait trop de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner".
C'est une erreur grossière. C'est mettre une limite à la miséricorde divine, alors qu'elle n'en a pas : elle est illimitée. Rien n'offense plus le Bon Dieu que de douter de sa miséricorde.
Sans la divine eucharistie, il n'y aurait pas de bonheur en ce monde, la vie ne serait pas supportable.
Dieu nous aurait donné un bien encore plus grand, s'il avait eu un bien plus grand que le don de lui-même.
Ne pas communier : c'est comme mourir de soif près d'une source.
Dieu sait tout. Surtout il sait qu'après vous être confessés vous allez recommencer à pêcher. Néanmoins, il pardonne. Il va jusqu'à oublier exprès l'avenir, pour nous pardonner.
Certains disent : "J'ai fait trop de mal, le Bon Dieu ne peut pas me pardonner".
Le Bon Dieu aime qu'on l'importune.
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